Le monde doit changer et ce n'est pas seulement en triant nos déchets que nous œuvrerons pour l'avenir, c'est bien la guérison du bazar que nous avons semé qui pourra rendre possible le changement tente attendu.
Rappelez-vous le post COVID : « jamais plus comme avant !». Un flop énorme à la taille de notre incapacité collective à changer nos comportements de consommateurs.
Alors action ! Et donc avec notre communication animale, soyons des acteurs du changement puisqu'il doit avoir lieu.
Le bien-être animal fondement de la communication animale n'est qu'un premier pas timide. Il paraît depuis suffisamment longtemps maintenant que nous avons autre chose dans nos mains quand nous pratiquons la communication animale, l'animal est un facteur de changement grâce à sa vision panoramique passé présent futur sans limites et sans apriori humanoïde.
S'il est coincé sur la même terre que nous, il n'est pas englué dans notre matérialisme capitaliste et il a encore contact avec l'univers, ses forces visibles et invisibles.
C'est un atout dont il peut nous faire bénéficier et il est un auxiliaire formidable dans la compréhension de ce qui nous bloque pour aller vers un ailleurs plus satisfaisant, le seul que l'on puisse espérer pour que l'humanité survive à la crise qu'elle espère traverser sans trop d'encombres.
Il ne s'agit pas d'accuser les uns ou les autres pour leur gestion calamiteuse du vivant, nous y avons tous et toutes contribué, moi le premier, pas d’autoflagellation, c'est totalement improductif, le colonialisme des pensées ne va pas disparaître comme par enchantement, c'est une autre approche avec d'autres outils qu'il nous faut.
La communication animale bien comprise en est un, nous le possédons, à nous d'en faire un outil de soin pour l'humanité, rien que ça me direz-vous, mais c'est bien de cela dont il s’agit. Il est de notre devoir d’effectuer ce travail, ce n'est pas une obligation ceux et celles qui ne se sentent pas d'y aller ne seront pas bannies ni brûlés sur le bûcher de l'inquisition, mais pour les autres, alors retroussons nos manches et « hardi petit », en avant !
RD 2024 09
Elles regardent vers l'avenir... |