vendredi 22 octobre 2021

Un nouveau livre...

 

De quoi nos animaux nous parlent-ils ?


 

C'est une question qui revient fréquemment et qui interroge toujours les personnes qui découvrent la communication animale.

L'animal nous parle de lui, de sa vie, de son "confort" au quotidien, de sa santé comme de la nourriture trop riche ou trop abondante, de la façon dont on le regarde ou on le considère dans la famille, de son rapport aux autres animaux de la maison, de son espace vital, de sa relation privilégiée à son "maître" ou bien à une personne précise dans la famille comme son attachement à un enfant, de son besoin de liberté ou de confiance qu'on lui accorde ou pas, de son désir de paix face à des enfants trop turbulents ou son envie de courir en compagnie de son humain, de son manque de temps ou de calme pour sa méditation quotidienne, de sa possibilité à mener son chemin de vie à bon port, de vivre pleinement son karma et de pouvoir se consacrer calmement à son évolution spirituelle.

Voici un programme déjà bien chargé et de nombreux sujets de discussion pas toujours faciles à aborder.

Mais là où l'animal familier nous étonne, c'est dans sa capacité à orienter l'échange vers la vie de son humain, voire de sa famille, et des relations entre humains. Je veux parler de tout ce qui touchera aux rapports familiaux comme aux dimensions transgénérationnelles.

Ce qui est étonnant en cela c'est la capacité que possède l'animal à nous donner de l'information à un moment bien précis de notre vie. Attirer notre attention, puis orienter nos recherches vers la famille proche comme éloignée dans le temps ou l'espace.

Plutôt que de vouloir faire un catalogue des événements probables, partons de quelques exemples rencontrés dans ma pratique.[1]

 

L'animal de compagnie endosse une partie de la maladie de son humain, c'est une situation assez fréquente et répertoriée, les témoignages ne manquent pas.



[1] Les cas sont des reconstitutions et n'entament en rien la confidentialité ou le travail fait auprès des personnes comme des animaux.


samedi 23 janvier 2021

les médecines naturelles victimes d’une stratégie sanitaire paradoxale

 

Antibiorésistance animale : les médecines naturelles victimes d’une stratégie sanitaire paradoxale

Caroline Pelé  rédigé le 15 janvier 2021 à 14h48

Alternative santé.fr

 L

imitez au maximum les antibiotiques et privilégiez les traitements alternatifs : c’est le message officiel adressé aux éleveurs et vétérinaires depuis une dizaine d’années. Seulement voilà, s’ils utilisent des médecines douces pour soigner les animaux, ils sont souvent « hors la loi » au niveau réglementaire. Une situation absurde au moment où la lutte contre l’antibiorésistance n’a jamais été aussi urgente.

S’il fallait encore démontrer le lien entre antibiorésistance animale et humaine, l’histoire de la bactérie Salmonella en serait un exemple flagrant. En effet, les chercheurs de l’Institut Pasteur ont prouvé que si la Salmonelle résiste aujourd’hui à l’ampicilline (antibiotique utilisé en santé humaine), c’est à cause d’antibiotiques donnés largement au bétail dans les années 1950.

L'antibiothérapie animale, facteur d'antibiorésitance chez l'humain.

Ils ont analysé des souches très anciennes de salmonelle, qui se sont révélées résistantes à l’ampicilline alors même que celle-ci n’était pas encore commercialisée pour l’homme... Pour expliquer cet anachronisme apparent, les chercheurs ont fait le lien avec la pénicilline distribuée régulièrement voici 70 ans aux bœufs et vaches en Amérique du Nord et en Europe pour les faire grossir. Ce qui a pu « favoriser la propagation de gènes de résistance chez l’homme » avance l’étude. Cette découverte a accentué encore l’urgence de la lutte contre la résistance aux antibiotiques, sachant que celle-ci cause chaque année 25 000 décès en Europe.

Les agences sanitaires pressent médecins et vétérinaires de limiter au maximum le recours à ces molécules. Réduire leur usage dans les élevages, c’est l’objectif des plans Ecoantibio lancés depuis 2012. Une mission en bonne voie puisqu’en 2018, les éleveurs avaient baissé leur consommation d’antibiotiques de 45% en huit ans. Pour cela, ils ont dû trouver des traitements alternatifs comme l’homéopathie, la phyto-aromathérapie ou l’acupuncture. Paradoxe de l’histoire, les médecines par les plantes sont à la fois encouragées en santé vétérinaire par les agences sanitaires et sanctionnées par la réglementation. Résultat, éleveurs et vétérinaires travaillent au quotidien sur le fil de la légalité.

 

 

Description : cône alerte